#1 Portrait d’étudiant-entrepreneur, Martin Thiriau, fondateur de SOS Futur

Martin ThiriauTrois questions à Martin Thiriau, fondateur de SOS futur, entreprise spécialisée dans le service à la personne en matière de nouvelles technologies, qui propose une service de hotline pour résoudre les problèmes informatiques des particuliers.

Martin est étudiant à l’école des Mines de Nancy. Entré au PeeL en parcours B.U. en mars dernier, il nous parle de son projet.

Comment t’es venue l’idée de SOS futur ?

J’ai vraiment commencé à travailler sur mon projet en mars dernier, en rentrant en parcours B.U. au PeeL.

L’idée de ce projet m’est venue de l’expérience de mes parents ou mes grands-parents qui me demandent souvent de l’aide pour faire fonctionner leurs ordinateurs ou leurs appareils électroménagers. Je me suis demandé comment ils feraient quand je ne serais plus là, et forcé de constater qu’il n’existait aucune solution sur le marché, j’ai commencé à réfléchir et imaginer SOS futur.

Peux-tu nous présenter ton parcours ?

J’ai toujours eu envie de monter mon entreprise, je ne savais pas encore à quel sujet, mais je voulais me donner les moyens de pouvoir lancer mon entreprise. J’ai fait l’ICN, et avec l’alliance ARTEM, j’ai eu la possibilité d’intégrer l’école des Mines en double diplôme. J’ai donc passé deux ans à l’ICN et deux ans aux Mines.

Le cheminement pour développer ton projet, comment ça s’est passé ?

Le cheminement, ça a été beaucoup de questionnement pour avoir une offre qui soit la plus complète possible, en accord avec les besoins des clients. Il a donc fallu faire des études du marché, analyser la demande.

Ca a été aussi beaucoup de rencontres. En parcours B.U., il y a 30 étudiants, ça permet de beaucoup échanger sur les projets et les difficultés de chacun, qui sont souvent les mêmes. Il y a beaucoup de projets qui sont tournés vers les technologies, ça nous a permis de faire de l’échange de contacts et d’entrer dans un réseau.

Pour monter un projet, il faut tester, modifier, re-tester, jusqu’à avoir un truc qui tienne la route. Il faut se lancer, aller dans l’inconnu.

Le mot de la fin

Je ne savais pas trop à quoi m’attendre en entrant au PeeL, mais si c’était à refaire je le referais sans hésiter.